Les 3 grandes erreurs de l'homme

Publié le 11 janvier 2023 à 19:01

1ere erreur - l'Etre Humain n'a pas craint de fuir, des les premiers âges, son milieu originel pour peupler la terre entière à amener à une action stressante des climats, des régimes anti spécifiques a joué à fond.

 

2eme erreur - se groupant en Société, l'Etre Humain s'est imposé des règles antihygiéniques. Les civilisations humaines ont faussé les conditions physiologiques d'existence: loi morales, sociales ou religieuses. La Loi naturelle a été encore une brimée par la contrainte du groupe et ses impératifs, toujours plus sévère en fonction des terres moins hospitalières à l'humain.
 
3eme erreur - la civilisation moderne, achève impitoyablement de créer un milieu 100% artificiel, stressant profondément l'espèce dans tous ses besoins élémentaires, amenuisant à l'extrême le capital santé déjà gaspillé par suite des précédentes erreurs.
 
Ainsi, l'Homme civilisé a dégénéré, peu a peu, au point de n'être plus comparable en aucun point avec l'Homme Naturel qui se fait de plus en plus rare. Il a perdu chaque fois de sa vitalité:
  • le creuset dans lequel se sont formées les races - première étape de la dégénérescence
  • les tempéraments - deuxième forme de dégénérescence
  • les constitutions morbides - terminus de la décrépitude marquée par des lignées de tuberculeux, de syphilitiques et de cancéreux .
 
Aujourd'hui, nous atteignons le but de notre évolution catastrophique. Le dernier effort demandé dans l'ordre de l'adaptation semble être au-dessus de nos moyens. Notre physiologie s'y refuse. Nos dégénérescences s'accusent de plus en plus rapidement: maladies, laideurs, folies s'emparent de l'espèce entière des civilisés. Dans la rue ce ne sont que dos ronds, ventres rebondis, tètes chauves, peaux flétries, corps lamentables ou se cachent des organes hypertrophiés, sclérosés et non seulement chez les vieux mais déjà aussi chez les jeunes adultes et les enfants mal venus.
 
L'espèce humaine, emportée dans son aveuglement, est-elle condamnée?
 
Source: P. Marchesseau: La biologie neuropathique

 

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